Ton ventre est la mer
Et le champs des possibles
Des raies spectrales
Au fond de toi, scintillent
Comme des ondes
Où je me noie
Je m’immisce sous ton masque
A coeur béant
Comme une plaie
Ouverte dans ton intimité
Mon tenseur déployé
Dans le chant de ton espace
En contorsions
Nos forces se conjuguent
En d’infinis soupirs
Qui se propagent
Dans tes yeux céruléens
